L’arrivée à Buenos Aires peut -être un choc important pour des personnes peu habituées aux grandes métropoles étrangères.On dit souvent que Buenos Aires est le Paris de l’hémisphère sud et que beaucoup de visiteurs s’imaginent une ville à l’architecture grandiose, aux charmes européens, agréable à vivre à tout moment du jour et de la nuit. On pense à une ville développée de type » primer mundo » comme disent les Argentins.
C’est cela bien sûr, mais pas seulement. Les premiers jours on tombe sous le charme, surtout si on loge dans le centre.Les petits cafés et restaurants à l’ancienne sont irrésisitibles.Dans un deuxième temps, les choses se compliquent quand on commence à se dépasser dans la ville ; Buenos Aires est, dans la semaine, une fourmilière parfois très désorganisée, avec ses taxis et autobus qui conduisent selon des règles incompréhensibles pour des Européens, des locations parfois douteuses au niveau de la finition des appartements, des routes et avenues régulièrement coupées par des manifestations.
Avec le temps on s’habitue et on prend même du plaisir à enfreindre quelques règles basiques de comportement: Traverser en dehors des passages piétons, ne pas payer le train, se débrouiller pour ne pas faire la queue…
Une règle fondamentale : ne pas stresser en face de situations inattendues, c’est l’échec assuré de votre séjour à Buenos Aires. Es lo que hay répètent les locaux. C’est comme ça !
Les services de navettes et de visites guidées sont multiples. Mieux vaut avoir affaire à des étrangers installés depuis plusieurs années et qui connaissent parfaitement la ville, comme www.buenosairestouring.com opérée par un français polyglotte installé depuis longtemps à Buenos Aires. Grand voyageur et désireux de faire découvrir aux visiteurs cette ville qu’il connaît comme sa poche, ainsi que tout le Delta du Parana, proche de la ville qu’il a parcourue dans tous les sens en bateau à voile et à moteur.
Il vous fera découvrir l’autre Buenos Aires…